Ce que vous devez savoir sur la nouvelle pénurie d’antibiotiques

Les antibiotiques, médicaments qui permettent de traiter les infections bactériennes, sont une source essentielle de médicaments essentiels dans les pays développés. Mais de plus en plus d’antibiotiques ne sont plus commercialisés en raison de la résistance croissante des bactéries aux antibiotiques.

En 2020, les ventes mondiales d’antibiotiques ont atteint 25,6 milliards de dollars. Ce chiffre inclut les ventes d’antibiotiques administrés à l’hôpital, aux établissements de soins de longue durée et dans les cabinets de médecine.

Les ventes d’antibiotiques dans les pays en développement sont passées à 8,1 milliards de dollars en 2020, contre 7,5 milliards de dollars en 2018.

Pourquoi la pénurie d’antibiotiques continue-t-elle ?

L’épuisement des ressources et la diminution des ressources en antibiotiques disponibles sont à l’origine de la pénurie. La résistance aux antibiotiques a entraîné la mort de millions de personnes dans le monde. Les bactéries résistantes aux antibiotiques représentent 70 % de toutes les infections bactériennes et représentent environ 25 % de toutes les maladies infectieuses.

La résistance aux antibiotiques a été identifiée comme l’une des principales menaces pour le futur du développement humain, en particulier dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

Les antibiotiques sont des médicaments qui aident les gens à traiter les infections bactériennes. Ils sont importants car ils sont utilisés pour soigner les infections bactériennes chez les personnes atteintes de maladies telles que la pneumonie et la méningite.

Les antibiotiques sont également importants pour lutter contre les infections virales comme la grippe, le rhume ou la grippe.

En 2022, les infections bactériennes les plus courantes étaient les pneumonies, la pneumonie et les infections des voies urinaires. Les infections des voies respiratoires supérieures étaient les infections des voies respiratoires les plus courantes dans le monde.

Les pénuries d’antibiotiques sont-elles une menace pour la santé publique ?

Une pénurie d’antibiotiques dans le monde affecte la santé publique. La résistance aux antibiotiques peut tuer des personnes et des animaux et les bactéries résistantes aux antibiotiques peuvent être utilisées pour fabriquer des médicaments contre des maladies comme la tuberculose, le VIH et la pneumonie.

Il est possible de prévenir les pénuries d’antibiotiques grâce à de nouvelles pratiques en matière de soins de santé, telles que l’utilisation prudente des antibiotiques et des pratiques de gestion des risques.

Par exemple, les pratiques de gestion des risques peuvent inclure le nettoyage des surfaces et des équipements en cas de pénurie de stocks, l’utilisation d’antibiotiques uniquement sur ordonnance et les précautions à prendre lors de la préparation des médicaments.

La résistance aux antibiotiques est un problème mondial qui nécessite une action mondiale et urgente pour prévenir de nouvelles infections.

En 2017, les ventes mondiales d’antibiotiques ont augmenté de 23 % par rapport à 2016, atteignant 39,8 milliards de dollars. Cette augmentation est principalement due à l’utilisation accrue des antibiotiques dans le traitement des maladies courantes.

La recherche sur les bactéries résistantes aux antibiotiques est un domaine de la science qui évolue rapidement. Les nouvelles méthodes de prévention, de diagnostic et de traitement sont essentielles pour lutter contre la résistance aux antibiotiques dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

Qui sont les acteurs clés ?

Les acteurs clés du secteur pharmaceutique sont les laboratoires pharmaceutiques et les fabricants d’antibiotiques.

En 2019, les ventes mondiales d’antibiotiques ont augmenté de 11 %, atteignant 61,2 milliards de dollars. Cela représente une augmentation de 3,5 % par rapport à 2018.

La principale source de revenus des fabricants d’antibiotiques est la vente d’antibiotiques à l’hôpital.

Les fabricants d’antibiotiques ont également vendu des vaccins contre les infections bactériennes.

Les ventes d’antibiotiques pour usage humain ont augmenté de 9 % en 2020, atteignant 47,8 milliards de dollars. Les ventes d’antibiotiques pour usage vétérinaire ont augmenté de 13 % en 2020, atteignant 20,4 milliards de dollars.

Les ventes d’antibiotiques pour usage humain ont augmenté de 11 % en 2020, atteignant 47,9 milliards de dollars.

Les ventes d’antibiotiques pour usage vétérinaire ont augmenté de 9 % en 2020, atteignant 20,4 milliards de dollars.

Les ventes d’antibiotiques pour usage vétérinaire ont augmenté de 11 % en 2020, atteignant 20,4 milliards de dollars.

En 2022, les ventes d’antibiotiques pour usage humain ont augmenté de 12 %, atteignant 66,7 milliards de dollars. Les ventes d’antibiotiques pour usage vétérinaire ont augmenté de 9 %, atteignant 33,5 milliards de dollars.

Les ventes d’antibiotiques pour usage vétérinaire ont augmenté de 9 % en 2022, atteignant 33,5 milliards de dollars.

Pourquoi la pandémie de Covid-19 continue-t-elle d’affecter la production d’antibiotiques ?

Les ventes mondiales d’antibiotiques ont augmenté de 13 % en 2020, atteignant 47,9 milliards de dollars.

En 2021, la pandémie de Covid-19 a considérablement ralenti la production d’antibiotiques.

Les pénuries d’antibiotiques ont entraîné une baisse des ventes mondiales d’antibiotiques en 2020.

En 2022, la pénurie d’antibiotiques continue d’affecter la production d’antibiotiques dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

La pandémie de Covid-19 a eu un impact significatif sur les ventes d’antibiotiques en 2020 et en 2021. La pénurie d’antibiotiques a entraîné une baisse de 13 % des ventes mondiales d’antibiotiques en 2020.

La pénurie d’antibiotiques a également entraîné une baisse des ventes d’antibiotiques dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

La pandémie de Covid-19 a eu un impact significatif sur la production d’antibiotiques en 2020 et en 2021. La pénurie d’antibiotiques a également entraîné une baisse de 13 % des ventes mondiales d’antibiotiques.

Les pénuries d’antibiotiques continuent d’affecter la production d’antibiotiques dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

Pourquoi les fabricants d’antibiotiques investissent-ils dans la recherche et le développement ?

Les fabricants d’antibiotiques investissent dans la recherche et le développement pour répondre à la demande mondiale croissante d’antibiotiques et à la résistance aux antibiotiques.

Les fabricants d’antibiotiques investissent également dans des solutions pour prévenir la résistance aux antibiotiques dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

Quelles sont les conséquences du marché de l’antibiorésistance sur la production d’antibiotiques dans les pays à revenu faible et intermédiaire ?

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L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie une fiche technique sur le risque d’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) chez les patients naïfs de traitement anti-VHC ou présentant des facteurs de risque (transfusions sanguines, co-infection VIH). Les médicaments concernés sont la spécialité ISENTRESS 100 mg (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC), la spécialité TAREG 100 mg et la spécialité INDAPAMINE LP 10 mg (réservée aux patients présentant un risque d’infection lié à la co-infection VIH-VHC) (1). Des informations relatives à l’augmentation du risque d’infection par le VHC sont également disponibles dans la fiche technique du vaccin contre le virus de l’hépatite B (VHB).

L’Agence rappelle que ce risque peut être augmenté chez certains patients, tels que les patients naïfs de traitement anti-VHC, les patients ayant une hépatite chronique et les patients porteurs d’une hépatite chronique C et de transplantations hépatiques récentes.

L’ANSM rappelle également que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité ISENTRESS (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC) dans les infections à VHC chez les patients ayant une maladie hépatique avancée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).

Risque d’infection par le VHC chez les patients naïfs de traitement anti-VHC

Dans un avis du 29 juin 2013, l’ANSM soulignait que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité ISENTRESS (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC) dans les infections à VHC chez les patients ayant une maladie hépatique avancée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).

Dans cette même recommandation, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur les risques de transmission du VHC par perfusion de sérums de rats et de singes après administration de ce produit. Ces études sont insuffisantes pour établir une relation de causalité entre la vaccination contre le VHC et la transmission du VHC, et l’ANSM recommande de ne pas utiliser de sérums de rats et de singes pour la réalisation de ce type d’essais cliniques.

De plus, la survenue de cas d’infection par le VHC chez des patients naïfs de traitement anti-VHC a été signalée dans des essais cliniques en cours de développement ou déjà en cours de commercialisation (2, 4). Les études d’efficacité et de tolérance dans le traitement de l’hépatite C sont en cours et la sécurité de ce médicament ne peut être établie à ce stade. Dans ce contexte particulier, il est recommandé de privilégier une administration en intraveineux direct (IVD).

Les patients naïfs de traitement anti-VHC ou porteurs d’une hépatite chronique non traitée sont donc invités à respecter les précautions décrites dans la Fiche technique sur le risque d’infection par le VHC chez les patients naïfs de traitement anti-VHC et dans la fiche technique sur le risque d’infection par le VHC chez les patients présentant des facteurs de risque (transfusions sanguines, co-infection VIH-VHC) (1).

Risque d’infection par le VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée

Dans un avis du 30 juin 2013, l’ANSM rappelle que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).

Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM indique que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie.

Il convient donc de privilégier la réalisation d’une biopsie hépatique dans les cas de transplantation hépatique ou de maladie hépatique chronique pour évaluer la réponse au traitement.

Enfin, il est rappelé que la surveillance des patients recevant TAREG 100 mg dans le cadre de l’hépatite chronique non traitée doit être renforcée en particulier chez les patients présentant une co-infection VIH-VHC. L’ANSM invite les professionnels de santé à poursuivre leur information et leur éducation à l’hygiène de vie et à demander un avis spécialisé si une hépatite chronique non traitée est suspectée.

Risque d’infection par le VHC chez les patients présentant une hépatite chronique et une co-infection VIH-VHC

Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients présentant une hépatite chronique et une co-infection VIH-VHC. Il est rappelé que ce traitement comporte un risque de transmission du VHC, et qu’une prise de sang est systématiquement demandée dans le cadre de cette surveillance.

L’ANSM rappelle également que les patients présentant une hépatite chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Les études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).

Dans la même recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée. En effet, la co-infection VIH-VHC et l’hépatite chronique non traitée peuvent concourir à une augmentation du risque d’infection par le VHC, et en particulier de transmission du VHC, en particulier chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée.

Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique dans les cas de transplantation hépatique ou de maladie hépatique chronique dans le cadre du suivi de ces patients à risque d’infection par le VHC. L’ANSM rappelle qu’il est important de poursuivre la surveillance des patients recevant TAREG 100 mg dans le cadre de l’hépatite chronique non traitée (2, 4).

Risque d’infection par le VHC chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée

Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée.

Il est recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée et de réaliser des prélèvements biliaires et/ou pancréatiques si ces prélèvements s’avèrent positifs.

Enfin, les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée.

Risque d’infection par le VHC chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique

Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée.

Il est recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée et de réaliser des prélèvements biliaires et/ou pancréatiques si ces prélèvements s’avèrent positifs.

Enfin, les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée.